Genevois que toi*

Lundi soir, retour à la casa il est 19:00 et des poussières et c’est souvent le créneau dans la semaine où me vient l’envie de pondre un petit article, de pousser un coup d’gueule en mode brouillon ou en mode publish.

Ce lundi est freezing cold, la bise couperosante nous les brise, nous les gèle c’est sordide, demain c’est moonboots, Damart et gants en poils de yak, c’est pas dieu possible!! Il fait sombre, les gens sont d’une humeur morose et menaçante, y’a que l’odeur des marrons (châtaignes) grillés qui donne envie de sortir sa narine rougie et humide de son cache-nez. Miséricorde! Ça fait les cheveux gras en plus ce vent tonitruant, c’est pas glam tout ça.

Et c’est parti pour 6 bons mois de glagla, frifri, brbr et nuit tombée …
Ma lampe à ensoleillement, la vidé 3 (vit. D), une bonne dose de positivisme, quelques soirées tropicales et on va retrouver un peu de chaleur ..

* Cette phrase a été reprise quelques années après comme slogan d’un parti populiste genevois, dont l’auteur n’est bien évidemment pas associée.


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