Je sais pas vous, chers non-lecteurs (ce blog n’étant pas encore vraiment ouvert) mais quand je rentre de ma journée de taf, juste avant la transition vers la vie à la maison et les 2-3 heures où ça va masser entre faire à manger, les enfants et tout le toutim, j’ai besoin de ma récré, ma soupape de décompression, mon petit moment à moi, et il y a encore 4 ans de ça, mes moments étaient faits de papier après ces heures passées sur le web et sur des pdf récalcitrants. Depuis lors, mon corps s’est crispé, recroquevillé sur cette tablette-à-la-noix, qui me délivre via ses applis, son lot d’événements. Je les compile, les passe en revue religieusement, j’ai même, à mon insu, adapté un ordre de « parsage » de ces dits-billets. La malade! Cela procure un spleen indescriptible lorsque l’on a usé de tous nos fils et avons exploré toutes les parcelles de ce web que l’on croit avoir balisé.. Le corps est en tension permanente. Avant, lorsque je déployais le journal, qui venait recouvrir ces factures et autres gentilles missives du genre, celui-ci faisait un avec mon corps qui reprenait tout son espace, pour abandonner la posture du travailleur courbé, après une longue journée de labeur. Argh!
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